par Tristan Cusson
En janvier dernier, c’est une triste nouvelle qui s’est répandue dans les rues du Quartier latin: Le bar Saint-Sulpice, véritable cœur de la vie étudiante du secteur de la rue Saint-Denis, rangera ses verres de manière définitive à la fin du mois de février. Bien que le mythique bar n’ait pas accueilli de client depuis le début de la pandémie, les habitués gardaient espoir de revoir le Saint-Sulpice et sa fameuse terrasse une fois de plus après le passage du COVID-19 qui eut le même effet que La Faucheuse pour plusieurs bars, cafés et autres établissements rassembleurs.
Le bâtiment de la rue Saint-Denis étant maintenant vacant, la question persiste concernant le prochain occupant. Résidences, bureaux ou un autre bar, qui sait, toutes les options restent sur la table. Il faudra s’en remettre au temps pour voir ce que deviendra du 1680 rue Saint-Denis.
par Félix Germain
Une alarme de feu s’est déclenchée aux résidences universitaires de l’ouest de l’UQÀM, situées rue Saint-Urbain, le samedi 4 février vers 16h45.
Tous les résidents furent évacués à l’extérieur et dirigés vers un pavillon de l’UQÀM à proximité. Toutefois, une alarme s’est ensuite déclenchée dans ce bâtiment, précipitant tout le monde dans le froid! Les pompiers sont arrivés rapidement sur la scène. Finalement, il n’a pas semblé y avoir de feu significatif, mais les gicleurs s’en sont donnés à cœur joie. Le rez-de-chaussée s’est vite rempli d’eau, ainsi que certains couloirs qui menaient aux chambres d’étudiants. De grands efforts ont été déployés par le personnel pour éliminer l’eau qui s’était accumulée. Certains étudiants ont malheureusement subi des dégâts provoqués par l’eau dans leur logement. Les dommages n’ont été que matériels. Par mesure de sécurité, le personnel des résidences a demandé de ne pas brancher les appareils électriques temporairement.
par Ludovic Brière
Le Provigo Chantal Lacroix a officiellement fermé ses portes le jeudi 2 février en soirée, après plusieurs semaines d’anticipation vouées à l’écoulement de la marchandise. Il ne semble pas y avoir de date précise qui soit annoncée pour la réouverture.
Cette épicerie sera fermée le temps de faire de grandes rénovations, et de devenir une nouvelle succursale Maxi. Provigo et Maxi appartenant tous deux à la compagnie mère Loblaw, la sélection de produits ne devrait pas trop changer, et les clients ne devraient pas être trop dépaysés.
Cette fermeture, bien que provisoire, présente un enjeu pour les habitants de la ville de Saint-Lambert et des quartiers Greenfield Park et Le Moyne. La fermeture impactera la fréquentation des épiceries des alentours. Elle signifie aussi la mise à pied temporaire des employés, bien que certains se sont fait offrir d’aller travailler dans un autre Maxi à proximité.
par Rakotoarivony Sedra Miharosoa
En date du 1er juillet 2022, l’Autorité Régionale de Transport Métrtoplitain, connu sous le nom de l’ARTM, officialise la refonte tarifaire des transports en commun de Montréal.
À partir de cette date, la région de Montréal est divisée en 4 zones, l’agglomération de Montréal ( Zone A), l’agglomération de Longueuil et Laval (Zone B), les couronnes nord et sud (Zone C) et les territoires en dehors de l’ARTM (Zone D). Cette refonte tarifaire vise à simplifier le catalogue de titres offerts aux usagers. Plus de 332 titres ont été retirés du catalogue et 29 nouveaux titres ont été ajoutés, créant 3 nouvelles catégories : les titres « Tous modes A,B,C », les titres « Bus A,B,C » et les titres « Bus spéciaux » qui sont étroitement liés à la mise en service du REM. De 2023 à 2025, l’ARTM va travailler sur l’harmonisation des nouveaux titres et le retrait des anciens.
Cette refonte tarifaire apporte donc une simplicité dans la lecture des titres et une division plus claires des zones desservies dans la région de la métropole Montréalaise.

Polyvalente de Saint-Jérome
par Kelly Anne Petit
Depuis quelque temps, les comportements violents chez les adolescents sont de plus en plus fréquents. Avec notre technologie d’aujourd’hui et notre téléphone constamment en main, il est donc plus facile d’avoir des preuves matérielles de ces évènements. C’est notamment ce qui est arrivé à une jeune étudiante de l’école secondaire de la Polyvalente de Saint-Jérôme, âgée de seulement 12 ans.
Le 18 janvier dernier, elle est victime d’agression physique. En effet, certains jeunes autour filmaient, lorsqu’une autre étudiante du même âge donna une violente gifle à celle-ci. Humiliée, triste et envahie par la colère, elle quitte la table pour aller pleurer plus loin.
De même, elle affirme qu’elle s’est sentie abandonnée par ses amies qui riaient d’elle au moment des faits. Elle ne savait pas qu’une «niaiserie» pouvait, aller au point de se faire gifler aussi violemment. De plus, son père triste et interrogateur ajoute que l’acte était probablement prémédité, puisqu’elle a commencé à être filmée avant les faits.
L’étudiante qui a commis l’acte violent a été rencontrée avec ses parents pour discuter de la sentence. Elle est suspendue de l’établissement pour une durée qui n’a pas été divulguée pour le moment. Finalement, les autres qui participaient en tant que voyeurs, ont été rencontrés aussi pour discuter et prendre conscience de la gravité de ce genre de comportement.