S’éduquer au chocolat
La 4e édition de « Je t’aime en chocolat » avait lieu le 6, 7 et 8 février au Marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal. Les amateurs de chocolat et de mode étaient au rendez-vous, car comme à chaque édition, un défilé « fashion » façon chocolat accompagnait l’évènement. L’Académie du chocolat de Montréal et quelques personnalités du monde culinaire donnaient des ateliers conférences et démonstrations. Philippe Vancayseele, Nicolas Dutertre, Rémy Couture et bien d’autres étaient de la partie.
Des kiosques de nombreuses confiseries québécoises, tels que Juliette et Chocolat, Chocolats Favoris, Crémy Pâtisserie et La Rouladerie présentaient leurs meilleurs atouts pour attirer les becs sucrés.
La 3e édition de l’évènement, en 2014, avait attiré environ 38 000 personnes. Il ne serait pas surprenant, considérant la foule qui s’est présentée, malgré le froid, que la 4e édition surpasse celle antérieure.
Pollution lumineuse à Montréal
À partir de septembre 2015, l’ASTROLab du Mont-Mégantic rejoindra 30 municipalités du Québec pour apporter des mesures ambitieuses sur la pollution lumineuse.
Afin d’apporter plusieurs changements, l’ASTROLab propose une formation ayant pour but d’informer davantage sur les techniques d’éclairage et sur les lumières DEL. Ce projet viserait à mener le Québec à une baisse d’intensité lumineuse pour toutes les municipalités.
L’ASTROLab désire assurer ses activités astronomiques et, par peur de perdre son ciel étoilé, il lance ce projet et fait appel à toutes les autres villes se sentant concernée. À Montréal, l’intensité lumineuse est semblable à celle de New York. De plus, le Québec en entier continue d’augmenter en matière de luminosité au fil des ans. Pour chaque municipalité, les dépenses dans ce réseau sont importantes. En 2003, les pertes étaient estimées à 45 millions $. C’est pourquoi l’ASTROLab veut mener à bien son projet lauréat. C’est-à-dire, sa formation faite sur mesure pour les municipalités afin de réduire la pollution lumineuse.
Elliot Maginot lance un disque
Mardi 10 février, l’artiste montréalais Elliot Maginot lançait son premier album, sous l’étiquette de disques Indica. Étiquette qui produit entre autres le groupe Half moon run. L’événement se tenait dans l’un des plus vieux théâtres de Montréal, Le National, rue Ste-Catherine.
Interprétant la totalité du contenu de l’album intitulé Young/Old/Everything.In.Between. Gabriel Hélie-Harvey alias Elliot Maginot, offre un folk doux, chanté en anglais. Une seule pièce en français sur l’album, la très jolie Le siècle bruyant.
Il était entre autres accompagné sur scène de Jesse Mac Cormack ainsi que de David Lagacé du groupe Fire/works.
Devant une salle comble visiblement conquise d’avance, le chanteur était heureux et touché, remerciant à plusieurs reprises tous les gens l’ayant aidé à sortir cet opus.
Le lancement de disque annonce également pour l’auteur-compositeur interprète, une courte série de concerts à travers la province.
Le café est-il bon pour nous ?
« Ça me réveille ! » , « Ça me détend ! », « Ça me fait du bien !» sont des choses qu’on entend souvent par les consommateurs de café. Les Canadiens consomment en moyenne 15 milliards de cafés par année, mais savent-ils tous l’effet de la caféine sur leur corps?
Le café a un effet stimulant puisque la caféine pénètre dans les tissus, même ceux du cerveau. Pris en quantité normale le café peut aider a améliorer l’humeur, réduire l’anxiété ainsi que réduire nos chances de contracter certaines maladies comme le diabète de type 2 et la goutte. Cependant, s’il est pris en trop grande quantité (plus de 3 tasses par jours environs) le café peut causer des nausées, des vomissements, maux de tête, nervosité, insomnie et plus encore. La caféine contenue dans le café peut aussi créer une dépendance. Finalement, comme toute bonne chose il est mieux d’en consommer modérément.
Encore des travaux sur Sanguinet
Cela fait quelques semaines que des travaux sont en cours sur la rue Sanguinet, juste à côté du cégep du Vieux Montréal.
En fait, les travaux pour les tubes souterrains sont la cause du gros ralentissement sur la rue même. Pour les semaines qui suivront, les piétons auront droit à un trottoir et non à deux, et les automobilistes auront plus de difficultés à se procurer un stationnement libre.
Un autre problème se présente aussi : les réparations causent beaucoup de bruit pour les habitants sur la rue Sanguinet. Les travaux commencent très tôt le matin et finissent vers la fin de la journée, causant une multitude de bruits. Les travaux d’aqueducs ne sont pas quelque chose d’étrange pour les piétons de la rue Sanguinet, car ça se répète chaque hiver.