Nouvel étudiant canin au programme de photo du Vieux
par Myriam Thibeault
Tout le monde connaît la Fondation MIRA, celle qui permet à des personnes non voyantes ou ayant besoin d’une assistance particulière d’avoir un chien-guide pour les aider dans leur vie quotidienne. Pourtant, peu d’entre nous savent que l’organisation sans but lucratif a constamment besoin d’aide de familles prêtes à accueillir des chiots en plein développement.
En effet, entre trois mois et dix-huit mois, les futurs chiens-guides sont logés par plusieurs bénévoles partout dans la province. Ceux-ci doivent amener les canins un peu partout avec eux, leur permettant ainsi de socialiser et de vivre selon différents milieux. Il y a également quelques interdits auxquels les familles doivent se plier; ne pas laisser le chiot seul plus de quatre heures par jour ou ne pas lui donner de nourriture de table, par exemple. Les parents adoptifs doivent également participer à des réunions organisées avec d’autres «parents » au siège social de la Fondation MIRA. Vous pouvez également aider la fondation en participant à des activités de financement ou en faisant un don.
Montréal en Lumière se prépare
C’est ce jeudi, 19 février 2015, que débutera la seizième édition du festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE. Encore cette année, le site extérieur gratuit sera situé au Quartier des spectacles et à l’Esplanade de la Place des Arts.
Pour l’occasion, le site comptera plusieurs attractions pour les enfants comme des glissades et une grande roue. On retrouvera aussi plusieurs stations gourmandes et bistros, des projections lumineuses et des œuvres interactives. La musique aussi est à l’honneur, on pourra assister à plusieurs prestations musicales gratuites à l’extérieur et il y aura une grande variété de spectacles payants offerts en salle.
Retombées économiques de la Saint-Valentin
Comme chaque année, la Saint-Valentin apporte son lot de dépenses à tous ceux qui tenteront, tant bien que mal, de charmer leur compagne.
Après la fête de Noël et le jour de l’an, c’est la Saint-Valentin qui vient vider ce qui reste de votre portefeuille pour que vous puissiez démontrer matériellement votre amour à la personne qui vous est chère. Cette fête qui, depuis plusieurs années, prend un aspect beaucoup plus économique est une occasion primordiale pour les petits commerçants d’augmenter leur chiffre d’affaires. La Saint-Valentin représente trois jours d’achalandage intensif chez vos commerçants du coin qui vont doubler et même parfois tripler leur revenu quotidien dans l’espace de quelques jours. Le chocolat et les fleurs demeurent au premier rang de vente avec une augmentation d’environ de 10 % depuis l’année dernière de plus, c’est un Québécois sur deux qui dépenserait plus de 40 $ lors de cette festivité.
La Saint-Valentin est l’occasion parfaite pour gâter son âme sœur, mais c’est aussi une occasion en or pour tous les commerçants.
L’orientalisme à Montréal
Afin d’oublier, le temps de quelques heures, cette dure période hivernale, le Musée des beaux-arts de Montréal vous propose une exposition haute en couleurs qui, par son exotisme flamboyant, saura réchauffer votre coeur. Merveilles et mirages de l’orientalisme – De l’Espagne au Maroc, Benjamin-Constant en son temps est la première exposition de cette envergure au Canada portant sur l’orientalisme. Du 31 janvier au 31 mai 2015, vous serez en mesure de découvrir la vision occidentale de l’orient du XIXe siècle au travers de plus de 250 oeuvres magistrales.
Benjamin Constant a préconisé une approche orientaliste similaire à celle d’Henri Regnault, Mariano Fortuny, Georges Clairin ou Jean-Paul Laurens dont les oeuvres font partie intégrante de l’exposition. Au travers de celle-ci, nous sommes amenés à découvrir six lieux symboliques propres à l’orientalisme. Ces artistes ont donc peint leur propre expérience vécue en ces lieux tout en étant influencés par l’art byzantin et les scènes bibliques. On y confronte à la fois mises en scène picturales et réalités de l’époque.
Désertification de la rue St-Laurent
Une rue de plus en plus déserte, la rue St-Laurent a déjà perdu plus de 160 boutiques. Cette partie de la ville, qui est pourtant une assez grande artère de Montréal, voit maintenant ses locaux couverts de graffitis.
Ces endroits abandonnés du boulevard sont de moins en moins friands pour les commerçants. Entre Sherbrooke et Mont-Royal seulement, plus de 67 commerces ont fermé leurs portes. La Société de Développement du Boulevard Saint-Laurent assure tout de même que le taux d’occupation du secteur visé est supérieur à celui de 2012 et qu’il n’y a pas à s’en faire. Cependant, selon l’enquête qu’a menée La Presse, le taux d’inoccupation est d’environ 13 % en janvier 2015, alors qu’en 2012 il était d’environ 12 %. Néanmoins, malgré le caractère inquiétant de cette problématique, les propriétaires demeurent confiants quant à une amélioration prochaine de la situation.