Montréal-Est prend de l’essor ainsi que les émanations
La ville de Montréal-Est est reconnue pour les industries et les raffineries qui y sont établit et qui fourni une grande parti de la pointe de l’île en essence et autres matériaux, et elle est aussi reconnue pour polluer ses alentours. Des compagnies comme Suncor y sont installées.
Ces industries appartenaient auparavant à Shell Canada avant d’être définitivement fermées en 2010, pour finalement être converties en terminal pétrolier. Ces raffineries sont responsables de 20% de la pollution montréalaise. Suncor possède la dernière usine en activité dans la métropole. Ce quartier a déjà compté six raffineries.
Suncor avait eu comme projet de faire construire une usine de cokéfaction, qui permet de raffiner des sous-produits du pétrole lourd pour produire de l’essence, du diesel ou du mazout, mais il avait été abandonné en 2009. Finalement, l’été passé, il a relancé son projet. Le projet devrait être finalisé au début de l’année 2016, selon le président et chef de la direction de Suncor.
Performances Olympiques au Complexe Desjardins
La fin de semaine du 30-31 janvier, se tenait au Complexe Desjardins à Montréal la 2e coupe du Québec de gymnastique artistique masculine organisée par le Centre Père Sablon et Gymnastique Québec.
Il s’agissait d’un événement ouvert et gratuit au public. Il y avait aussi la première coupe provinciale de gymnastique acrobatique présentée, en ce lieu, le même dimanche. Des athlètes de plusieurs niveaux différents ont participé à cette compétition de haut calibre. Certains ne visent pas moins que les jeux Olympiques de Rio de Janeiro en 2016, c’était un moment pour eux de monter dans le classement et d’avancer vers leur but.
Il était très impressionnant de voir tous ces gymnastes au centre du Complexe Desjardins réaliser leurs figures au sol, au cheval d’arçon, aux anneaux, au saut de cheval, aux barres parallèles et la barre fixe.
Une épave problématique
Cela fait maintenant quatre ans que le cargo du nom de Kathryn Spirit est coincé à Beauharnois, en Montérégie, dans les eaux du lac Saint-Louis.
Depuis le début de sa présence, ce bateau à semer la controverse au sein de la municipalité. Il a été emmené à cet endroit pour y être démantelé et recyclé pour une société de recyclage maritime mexicaine. Depuis le début, la ville n’est point en accord avec ce projet voyant le potentiel dangereux que représentait ce bateau. Le cargo contient supposément 2 millions de litres d’eau contaminée par le pétrole qui risque à tout moment de se déverser dans le lac Saint-Louis, une réserve d’eau potable pour Montréal.
Le plus gros problème est que maintenant la compagnie mexicaine renonce à tous ses droits sur le cargo. Ce qui a pour conséquence l’arrêt du pompage d’eau qui s’infiltre. Le Kathryn Spirit risque à présent de chavirer à tout moment.
La Fête des Neiges résiste à l’hiver tardif
La Fête des Neiges de Montréal, un rassemblement d’activités hivernales et familiales notoire, entame la dernière semaine de sa 33e édition au Parc Jean-Drapeau, Montréal.
La programmation comporte, comme à l’habitude, des spectacles d’animation et de musique, des camions-cantines, des installations sportives et récréatives, des concours et des ateliers de création. L’esthétique et les thématiques s’adressent surtout aux enfants. Plusieurs personnages d’émissions jeunesse de Télé-Québec apparaissaient notamment dans des publicités et activités.
L’hiver tardif à dû faire craindre les organisateurs cette année. Or, cela n’aura apparemment pas affecté le rendement du festival. Selon Martine Venne, conseillère en relations de presse pour le Parc Jean-Drapeau, le taux de participation est estimé à «22 000 personnes par week-end, ce [qui] est moyen» par rapport aux éditions précédentes. Les températures douces de cet hiver ne semblent donc pas avoir affecté considérablement le succès de la fête, bien que la gadoue fut au rendez-vous.
Nouvelles bascules lumineuses sonores à Luminothérapie
C’est depuis le 10 décembre que les Montréalais ont pu profiter de la 6e édition de Luminothérapie, un évènement qui a transformé la Place des Festivals en terrain de jeux lumineux.
On pouvait y trouver des bascules sonores et lumineuses ainsi que neuf vidéoprojections réalisées par les artistes montréalais Moatik et Iregular. C’est Mitchell Akiyama, un Torontois, qui a
créé les trames sonores que l’on pouvait entendre en utilisant les bascules ainsi que celles qui accompagnaient les projections.
L’idée derrière Luminothérapie, c’est de permettre aux artistes concepteurs montréalais de transformer l’espace public en espace interactif pour le public. C’est aussi d’illuminer l’hiver et d’animer le Quartier des spectacles. En effet, faire bouger le spectateur tout en le rendant créateur était l’un des buts des organisateurs.
L’évènement a pris fin dimanche dernier, le 31 janvier. Une nouvelle édition sera présentée, on l’espère, l’hiver prochain!