La fonction sociale des graffitis dans un contexte d’éducation
par Rachel Henrie-Gouin
Un étudiant anonyme propose ses services pour «décorer» les casiers du cégep du Vieux Montréal avec des dessins pour le prix de dix dollars par casier.
Si l’on fait ne serait-ce que quelques pas dans la section en question, il est impossible d’ignorer les centaines de graffitis qui, selon certains, permettent de donner de la personnalité à l’endroit et, pour les autres, nuisent à l’ambiance d’apprentissage. Mais sont-ils vraiment des fléaux?
Le cégep du Vieux Montréal ne présente pas une abondance de dessins et de propos dérangeants sur ses façades extérieures, contrairement au cégep de Rivière-du-Loup qui, en 2012, affichait sur l’un de ses murs des images choquantes telle qu’une croix gammée. Évidemment, il serait incorrect d’attribuer à cette institution des valeurs aussi haineuses en se basant uniquement sur ces graffitis. Cependant, une question reste en suspens : devrait-on considérer les inscriptions et les dessins dans les cégeps du Québec comme étant un moyen d’expression ou comme une nuisance? Devrait-on leur accorder autant d’importance?
Économie circulaire à l’UQÀM
par Nicolas Andres Rebolledo Yanez
Le 1 février dernier, se tenait la grande vente annuelle de vêtement et livres usagés.
Cette dernière se tenait à l’agora du pavillon Judith-Jasmin de l’UQÀM. La vente sera sur place du 1 au 5 février et à pour but de financer les différentes simulations des étudiants de la faculté de science politique et de droit. Comme la simulation de l’OTAN, de l’ONU et du parlement européen.
Les tables étaient pleines à craquer de divers livres, allant des romans policiers aux grands classiques de la littérature. Les divers articles sont en vente à partir de la modique somme d’un dollar.
Bridgeway débute au Lion d’Or
par Sophie Larocque
C’est le 26 janvier 2016 dernier qu’a eu lieu le lancement de la formation québécoise Bridgeway au Cabaret du Lion d’Or à Montréal.
Ce groupe Rock, pop, alternatif est composé de cinq membres talentueux : Raph Pilon (voix, piano), Vince Vertefeuille (guitare), Antoine Loiselle (guitare), Phil Chevrier (basse) et Chris Carignan (drum).
Même s’ils n’en sont pas à leur première performance sur la scène québécoise, ce dernier spectacle avait pour but de lancer leur nouvel album Watcha Want From Me. Accueillant plus de 400 personnes, le Cabaret du Lion d’Or frissonnait sous la musique enivrante du groupe. Ce spectacle nous a aussi permis de découvrir la talentueuse Stéphanie Bédard qui prête sa voix à la chanson bilingue So Far Away. Inspiré et encouragé par le groupe Hedley, Bridgeway met toutes les chances de son côté dès 2012 en faisant la première partie de ce groupe québécois. Bridgeway, c’est un peu comme la rencontre entre Nickleback et Hedley.
Conséquences des jeux vidéo
par Laurence Perreault-Brière
La solitude virtuelle d’un jeune de 16 ans.
Des adolescents qui s’abandonnent à leurs écrans au lieu de profiter des joies du plein air, voilà ce qui inquiète de nombreux parents du Québec.
En effet, l’école, le sport et les contacts humains deviennent de piètres arguments pour tenter de sortir ces jeunes de leurs cocons virtuels.
«Ce que je trouve ambigu, c’est qu’avec ces technologies, ils ont tellement de conversations en même temps, que ce soit via leurs jeux vidéo ou bien les réseaux sociaux, qu’ils sont toujours actifs socialement. Mais où sont les véritables liens aujourd’hui? Les liens réels, ceux qui se passent à l’air frais? C’est ce qui m’inquiète. J’ai l’impression que tout cela nuit à leur autonomie sociale ou individuelle. Tout se passe dans un écran, comme une illusion’’, confie Annie, une maman d’un adolescent de 16 ans passant un temps record seul dans son sous-sol. De plus, ce n’est pas qu’au Québec que cette situation est grondante. Effectivement, l’édition française Le monde a rapporté, en 2014, qu’un adolescent sur huit développera un usage problématique de jeux vidéo.
La société devrait-elle se pencher d’avantages sur l’efficacité des moyens de motivation utilisés auprès des jeunes?
Les niveaux élevés d’eau menacent la pêche sur glace
par Noémie Leduc
Du retard pour la pêche sur glace en Outaouais.
Le mois de février est sur le point de débuter, cependant, peu de cabanes à pêche sont installées sur la rivière des Outaouais. Pourtant, c’est une activité très pratiquée, à ce temps de l’année, dans la région. Ce retard est causé par le niveau élevé de l’eau de la rivière, ainsi que par les hautes températures. Il est question de prudence, car à certains endroits la glace est trop mince pour circuler en toute sécurité. Il est donc important de faire preuve d’une grande vigilance.
La hausse du niveau de l’eau a également causé des inondations à certains endroits dans la région.
Laura Vallée photographe
