L’engouement du vintage bat son plein
De nombreuses personnes ont bravé le froid pour participer au bazar vintage à l’Église St-Jean-Berchmans le samedi 13 février dernier.
Des gens de tous les âges étaient regroupés pour apprécier des merveilles du passé, telles que des vêtements, des plaques d’immatriculation des années 1960, de l’argenterie et plus encore. L’intérêt pour les articles vintage a considérablement augmenté depuis les alentours de 2010. En effet, ce type d’événement, qui est déjà très populaire et attendu par plusieurs personnes, est de plus en plus en demande: c’est le retour des marchés aux puces dans les sous-sols d’église, de la récupération de vieux meubles ou électroménagers et même de plusieurs éléments vestimentaires datant d’il y a plus de quarante ans.
Cet engouement pour le vintage pourrait soulever des discussions intéressantes sur le mode de vie que nous vivons actuellement: sommes-nous insatisfaits des moyens modernes qui nous entourent? Quels éléments de ces objets d’époque sont mieux que ce que nous pouvons trouver aujourd’hui?
La diversité culturelle intégrée aux politiques de la culture
En conférence de presse, la ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Hélène David, annonçait ce lundi 15 février à Montréal le lancement des travaux sur le renouvellement de la politique culturelle du Québec.
La politique actuelle, adoptée en 1992 sous le titre Notre culture, notre avenir, a été élaborée en fonction de trois directions, à savoir l’affirmation de notre identité, le soutien aux créateurs et à la création artistique, et l’accès à la participation des citoyens à la vie culturelle.
La future politique, qui sera entamée à partir de 2017, reprendra le modèle actuel tout en prenant en considération les réalités d’aujourd’hui, notamment l’évolution des pratiques culturelles, la diversité culturelle et l’avancement de l’ère numérique.
Plusieurs consultations publiques s’effectueront à partir du 8 avril à Québec, puis à travers les différentes régions administratives de la province, pour se terminer le 21 juin à Sherbrooke. À cette occasion, les citoyennes et citoyens pourront prendre parole et partager leur opinion avec la ministre.
La Saint-Valentin est moins payante la fin de semaine
La Saint-Valentin. Pour plusieurs, cette journée représente la fête de l’amour, alors que pour d’autres ce n’est qu’une simple fête commerciale.
Quoi qu’il en soit, le 14 février est une journée importante pour les commerçants et les petites entreprises. En effet, de nombreux commerçants, tels les fleuristes et les chocolatiers, comptent sur cette journée pour faire fluctuer leur chiffre d’affaires. Il y a cependant un petit inconvénient. Quand la fête de la Saint-Valentin tombe une journée de semaine, les chiffres d’affaires semblent être considérablement en hausse, ce qui ne semble pas être le cas quand la fête de l’amour est une journée de fin de semaine. En effet, lorsque le 14 février est un samedi ou un dimanche, les gens choisissent plutôt de sortir au restaurant ou tout simplement de faire une activité qui sort de l’ordinaire. Ils préfèrent offrir à l’être aimé une activité au lieu d’un objet éphémère tels un bouquet de roses ou une boîte de chocolats. J’ai parlé à plusieurs commerçants de Drummondville et leur réponse a été la même: les chiffres d’affaires sont tout de même atteints, ils sont toutefois considérablement inférieurs aux années précédentes. Une chose est sure, que cette fête représente la simplicité pour certains ou une fête inutile pour d’autres, elle est importante pour les fleuristes et les petits commerçants de chocolats puisqu’elle leur permet d’augmenter leur revenu de façon impressionnante en seulement une journée.
La Saint-Valentin 2016 n’a peut-être pas été un grand succès pour les commerçants, il en sera probablement autre chose l’année prochaine.
Laval aura son grand centre sportif
Laval va avoir son propre centre sportif et culturel durant l’année 2017.
La construction de la place Bell est déjà commencée depuis quelque temps. Situé à côté du terminus Montmorency, il sera facile d’y accéder, en plus il y aura un stationnement souterrain. Les athlètes pourront être comblés avec une salle d’entrainement et deux patinoires. Une patinoire olympique avec 2 500 sièges et une communautaire ayant une capacité de 500 spectateurs. Un magasin d’article sportif sera aussi présent sur place. Le centre a pour but de fournir de l’équipement adéquat pour les athlètes et d’attirer de nouvelles disciplines. Les amateurs de spectacles ne sont pas oubliés, car il y aura un aréna de 10 000 places qui peut être transformé en salle de spectacle.
La place Bell veut devenir une source importante de diffusion d’évènement culturel à l’extérieur de Montréal. Le coût de ce grand projet est estimé à 200 millions de dollars.
4e édition de Montréal Joue
par Sophie Larocque
Animée par Tammy Verge et Antoine Vézina, Montréal Joue lançait la 4e édition de son projet en ce 10 février 2016 lors d’une conférence de presse qui se tenait au Métro Place des Arts. Du 20 février au 6 mars, Montréal Joue propose plusieurs activités à Montréal et présente le jeu comme manière de se rassembler en famille ou avec les ami(e)s. Les jeux de société, les activités ludiques intérieures et extérieures de toute sorte sont à l’honneur durant un peu plus de deux semaines.
Tout le monde se passe le mot pour se rassembler et s’amuser lors d’évènements tels que »La nuit de zombies» à la bibliothèque Frontenac (26 février), le cirque à La TOHU, les activités scientifiques au centre des sciences de Montréal, etc. Plus de 300 activités sont organisées. Ce projet est possible grâce à 100 partenaires et permet à 60 lieux à Montréal de participer à cette grande organisation. Les jeux de société, les jeux de rôles, les livres, les sports et les jeux vidéo sont à l’honneur. De plus, la plupart des activités sont gratuites, mais certaines nécessitent une réservation en ligne.