Les coupures menacent l’aide à l’itinérance
Le chef du Parti Québécois, Pierre-Karl Péladeau et la députée, Carole Poirier ont donné une conférence de presse au 3911 rue St-Catherine Est à Hochelaga-Maisonneuve pour soutenir le projet RAPSIM – Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal.
Le 3911 rue St-Catherine Est est réputé pour être la piquerie la plus populaire, une maison d’horreur à ce qu’on peut entendre par les rumeurs, mais ce bâtiment a le droit à une deuxième chance. Il a été démoli et reconstruit pour subvenir aux besoins de personnes seules et itinérantes. Ce sont des personnes âgées entre 18 et 30 ans. Les logements sont là pour les aider à surmonter les grandes épreuves qui leur sont apparues dans la vie. Ce bâtiment contient 26 logements et ce n’est pas la seule bâtisse.
Par contre, des projets tels que le RAPSIM ne pourront plus se réaliser si le gouvernement Couillard coupe encore dans les financements et abandonne le programme AccèsLogis.
Une base de données pour les aidants naturels
Le lundi 22 février se tenait la conférence de presse de l’association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ). La conférence avait pour but d’annoncer le lancement d’un nouveau service appelé Biblio-Aidants.
Les différents membres de l’ABPQ ainsi que plusieurs bibliothécaires et gens du milieu furent conviés à l’événement dans le but de recevoir de plus amples informations sur le service d’information. Biblio-Aidants se veut une banque de données structurée et facile d’accès pour tous les aidants naturels de notre société. Le service reçut un accueil des plus chaleureux de la part de toutes les personnes présentes.
Il va sans dire que tout le travail mis au profit de Biblio-Aidants n’aura pas été fait en vain, car il sera d’une grande aide pour toutes les personnes aux prises avec ce genre de situation.
Voyager forme encore la jeunesse
Reportage portant sur le fait qu’aujourd’hui, énormément d’étudiants veulent prendre une pause entre les études et le marché du travail afin de partir en voyage, découvrir le monde.
Points de vue de 4 étudiants et d’Emmanuelle Brière, agente de voyage.