L’habitation représente 12% des émissions à effet de serre
Le 20 février dernier, à l’École de technologie supérieure de Montréal (ETS), a eu lieu une conférence sur le standard zéro carbone au Québec dirigé par le conférencier Mark Hutchinson, qui est le vice-président programmes de certification-conseil du bâtiment durable du Canada (CBDCa).
En partenariat avec David Murray, président d’Hydro-Québec Distribution, ils sont accompagnés de Maxime Boisclair (ingénieur), de Stéphanie Bastien et François Grenon (architectes) et de Véronique Beaudoin de la commission scolaire de la Seigneurie-des-Milles-Iles.
Cette rencontre invitait la population à comprendre le but du standard zéro carbone dans les constructions récentes ou en rénovation afin de passer d’un objectif global à divers moyens pratiques pour les concepteurs, les clients ou autres acteurs du bâtiment. Ce secteur est amené à se transformer d’ici 2050 puisqu’il représente 12% des émissions de gaz à effet de serre au Canada et 30% de la consommation énergétique au Québec. Avec, comme exemple, la présentation du projet de l’école élémentaire Curé-Paquin à Saint-Eustache, il était question de partager et s’interroger sur les enjeux et embuches à surmonter pour y arriver.
Adapter le métro pour tous
par Marilou Devost
Aujourd’hui en 2018, il est possible de penser que la ville de Montréal est un lieu adapté à tous, mais ce n’est pas tout à fait le cas pour certains.
Il y a plusieurs choses qui peuvent empêcher l’accès d’un bâtiment à une personne à mobilité réduite. Une simple marche d’entrée d’un magasin peut rendre le lieu complètement inaccessible pour elle. Cette année, un nouveau maire de Montréal a été élu : la mairesse Valérie Plante. L’un de ses engagements phares de son programme électoral est la construction d’une nouvelle ligne de métro : la ligne rose. Cependant, il faut savoir que seulement 11 stations de métro possèdent un ascenseur et qu’ils ne sont pas tous complètement accessibles pour les personnes à mobilités réduites. Le manque d’escaliers roulants se fait également ressentir dans certaines stations. Ce manque rend le déplacement beaucoup plus difficile pour des mères avec leurs poussettes, des personnes âgées, des personnes à mobilités réduites, etc.
Le fait de rendre le service de transports en commun de Montréal adapté à tous à chacune des stations serait un projet à penser pour les années futures.
L’importance de donner du sang
Saviez-vous que toutes les 80 secondes, quelqu’un a besoin de sang au Québec ? Que ce soit pour traiter une maladie, à la suite d’un accident ou lors d’une intervention chirurgicale, 1 000 dons de sang sont nécessaires chaque jour.
Ici, donner du sang est un acte bénévole qui contribue à augmenter l’approvisionnement en sang des hôpitaux. Il est possible d’aider en donnant des globules rouges, des plaquettes et du plasma. Le prélèvement d’une poche de sang de 450ml prend une dizaine de minutes, alors que le processus complet se déroule normalement en une heure. À la suite du don, le plasma collecté est régénéré en moins de 24 heures, alors que les autres composants sanguins le sont en moins de huit semaines. Il est donc possible de donner du sang tous les 56 jours. « Il est essentiel que les gens s’informent sur l’importance du don de sang. La relève en donneurs de sang dépend de nous », affirme Annie Turcot qui en est à son dixième don.
Pour Héma-Québec, l’implication des bénévoles est indispensable pour faciliter l’expérience des donneurs. C’est une autre façon de s’engager. En 2016 et 2017, plus de 170 000 personnes ont contribué à maintenir les réserves de sang dans les centres hospitaliers du Québec. Cette année, serez-vous des leurs ?
Activités du Mois de l’histoire des Noirs
Cette année, pour célébrer le mois de l’histoire des Noirs, une panoplie d’activités culturelles intéressantes et divertissantes, tel que du théâtre, du chant, de la danse et des expositions sont à l’affiche.
Parmi l’une des activités prévues au calendrier, le 10 février 2018 à Place des Arts, se tenait une conférence/causerie animée par Dr. Susan Rogers, qui est l’une des rares femmes au monde reconnue pour ses talents de mixeuse, d’ingénieure, de productrice et, entre autres, pour ses années de travail passées aux côtés du célèbre chanteur américain Prince. La conférence était un tant soit peu intime, car elle interagissait de manière active avec son public, qui lui posait des questions sur le métier et qui lui demandait conseil. Tout en racontant quelques anecdotes, elle éduquait l’audience sur le développement auditif et sur la mémoire auditive.
Cette conférence était autant éducative qu’inspirante. C’était différent, mais révélateur!
La pertinence de la St-Valentin
La St-Valentin est principalement considérée comme la fête des amoureux. Seulement, cette journée est définitivement une des journées les plus chargées et en demande pour les fleuristes ainsi que pour les bijoutiers. Les vitrines sont polluées de cœurs et de cupidon et les restaurants sont pleins à craquer. Le 14 février est aussi une journée qui fait gonfler les chiffres d’affaires pour ces commerces concernés.
En moyenne, près de la moitié des Québécois prévoient cette fête en s’échangeant des mots doux, des cadeaux coquins, des ours en peluche, des boîtes de chocolats, des bouquets de fleurs gigantesques, des billets de spectacle et s’offrent même des voyages pour l’occasion ! Le jour de la St-Valentin, tout comme le jour de Noël crée des attentes à tous. On s’attend à recevoir des attentions particulières pourtant très artificielles…
Ceci dit, la St-Valentin est un prétexte pour se dire je t’aime le temps d’une journée. Mais avons-nous réellement besoin de cette journée en particulier pour témoigner son amour à son partenaire ?