Mardi le 26 novembre 2024

Objectif : trois sang donneurs.

par Antoine Rabeau Daudelin

Cette semaine est la semaine de collecte de sang au cégep du Vieux Montréal (CVM) organisée en partenariat avec le département de soins infirmiers. C’est sous la supervision de mesdames Mélanie Martel, coordonatrice du département de soins infirmiers au CVM et Andryse César. Que le tout se déroulait dans les murs mêmes du collège.

Durant les trois jours, que sont lundi à mercredi, Hema-Quebec tente de récolter 300 dons de sang. Lorsque je suis passé dans la cafétéria des non-fumeurs, le temps d’attente était pratiquement nul. Peu de gens semblaient concernés par la cause, malgré que les gens, qui y étaient présents, semblaient ravis de pouvoir sauver des vies. La collecte de sang est une bonne manière de sensibiliser les étudiants du CVM au fait que des gens au Québec ont besoin de sang sans quoi leur vie est en danger. Rappelons qu’un don de sang permet de sauver environ 3 vies.

Funérailles de Bad News Brown à Saint-Henri

par Sébastien Blais

Lundi le 21 avait lieu les funérailles d’un jeune rappeur montréalais, Paul Frappier.

D’origine haïtienne, le musicien, aussi connu sous le nom de Bad News Brown, a été victime d’un homicide dans la Petite Bourgogne la semaine dernière. C’est donc par une température glaciale que se sont rassemblés ses proches. Une veillée avait lieu hier soir dans le parc qui fait face à l’église St-Zotique du quartier Saint-Henri, lieu des funérailles. Bad News Brown était reconnu dans le monde de la musique rap comme l’un des seuls rappeurs utilisant l’harmonica dans sa musique. Cette caractéristique hors du commun ainsi que son talent lui ont permis de se faire reconnaitre dans ce milieu et notamment de faire la première partie de plusieurs grands spectacles tells celui de 50 cents et de Kanye West, deux grands rappeurs américains. Les conséquences de sa mort restent encore nébuleuses.

Les bâtons de pop-sicle au service de l’ingénierie

par  Marie Vallières

Lundi le 21 février, se tenait à l’École de technologie supérieure, le concours PontPop. Plusieurs dizaines d’étudiants d’écoles secondaires du Québec ont fabriqué des ponts en n’utilisant que des bâtons de pop-sicle, des cure-dents, de la soie dentaire et de la colle blanche. Alors que pour certains c’était une première expérience, d’autres en étaient à leur quatrième participation! Après leur fabrication, les ponts sont soumis à des presses industrielles afin de tester leur résistance. Il est d’ailleurs impressionnant de voir à quel point ces constructions sont solides; certaines pouvant soutenir plus de 1000 kilos. Une fois que le pont a craqué sous le poids, les jeunes ont le choix de détruire leur pont ou non. Étonnement la plupart des structures réalisées finissent en morceaux sous l’ordre de leurs constructeurs. Durant toute la journée, le stress, l’excitation, le travail et la fierté créent une ambiance festive. L’animateur, Stéphane Bellavance, qui est aimé des jeunes, garde l’attention des participants tout au long de l’activité.

Cette activité, en plus d’être un projet motivant pour plusieurs jeunes, vise à les intéresser à la profession d’ingénieur, laquelle est en demande au Québec.

Art et désir 2011 de Corno

par Valérie Verville

L’exposition Art et désir 2011 de Corno est ouverte au publique jusqu’au 27 février prochain au deuxième étage de la Galerie Lounge TD sur la rue Sainte-Catherine Ouest.

L’exposition fait partie du Festival Montréal en lumière qui met en valeur la femme, élément que l’on retrouve dans les toiles de Corno, alias Johanne Corneau. La grande salle est remplie des oeuvres de l’artiste-peintre. Les toiles vives et colorées provoquent un réel contraste avec l’ambiance calme et le blanc des murs de la galerie. Le style coloré de Corno est une fusion du postpop et du nouvel expressionnisme. L’artiste québécoise contemporaine a aussi retouché des photographies en peinture et en a fait des reproductions sur plexiglas. Elle s’inspire de l’énergie de New York où elle vit depuis plusieurs années.

29e édition des Rendez-vous du Cinéma Québécois

par Martina Muller
La 29e édition des Rendez-vous du Cinéma Québécois bat son plein dans différents lieux de diffusion à Montréal. Une foule d’activités, projections et causeries sont organisées depuis mercredi, et ce, jusqu’à dimanche le 27 février.

Vendredi dernier, à la Cinémathèque Québécoise, on pouvait assister à un 5 à 7 discussion sur le thème: « Un cinéma québécois à l’image de sa société? » Quatre réalisateurs, Émile Gaudreault (De père en flic), Francis Leclerc (Un été sans point ni coup sûr), Sébastien Rose (Le Banquet), et Maxime Giroux (Jo comme Jonathan), étaient présents pour échanger sur le sujet. L’auditoire était invité à s’exprimer pour agrémenter la discussion. Plusieurs questions ont été soulevées, notamment celle de la langue, des minorités visibles, des régions, etc. Ces réalités québécoises sont-elles bien ou mal représentées dans le cinéma actuel? L’échange n’a pas réellement mené à un consensus, sauf peut-être à la conclusion que notre société serait en pleine quête identitaire.
Sur la photo (de gauche à droite): Émile Gaudreault, Odile Tremblay (journaliste du Devoir), Francis Leclerc, Marie-Louise Arsenault (animatrice de la discussion), Sébastien Rose et Maxime Giroux.

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