C’est le 18 février dernier que les médias étaient conviés au point de presse du SÉTUE, syndicat des employé-e-s étudiant-e-s de l’UQÀM, concernant la négociation pour le renouvellement de la convention collective de celui-ci.
La conférence, qui prenait place au Centre St-Pierre, a duré une quinzaine de minutes. Elle visait a dénoncer la lenteur des négociations avec l’administration de l’Université du Québec à Montréal au sujet de la création d’un plancher d’heures. En effet, ce sont 11 semaines qui se sont écoulées depuis le début de cette grève et le syndicat souhaite réitérer leur revendication prioritaire. Ils revendiquent le plancher d’heures puisque celui-ci pourrait contrer la précarisation des employés étudiants. Ceux-ci étant durement touchés par la grève, un Fond de solidarité a été mis sur pied afin d’aider ces étudiants à garder la tête hors de l’eau. Ils ont ainsi pu recevoir des denrées qui leur permettent de combler un certain besoin de base. À cette heure, les membres du SÉTUE critiquent le manque d’ouverture des membres de l’administration de l’UQÀM par rapport aux négociations et souhaitent que ceux-ci viennent se rasseoir pour pouvoir négocier.
Nous ne sommes toujours pas encore au courant des mobilisations qui auront lieu, toutefois, les portes-parole ont sous-entendu qu’il y en aura plusieurs au cours des prochaines semaines, mais qu’ils étaient dans l’impossibilité de nous en dire plus au sujet de cesdites mobilisations. Il faudra alors rester aux aguets afin de pouvoir couvrir entièrement les mobilisations futures.