Dernier épisode des Appendices fêté à La Shop
par Sarah Provençal
C’est ce mardi soir à 19h30 qu’a été diffusé le dernier épisode des Appendices sur les ondes de Télé-Québec. Pour cette occasion a eu lieu une soirée de dernière au bar La Shop sur la rue Saint-Denis à Montréal. En effet, tous étaient invités à venir fêter avec Les Appendices : Jean-François Chagnon, Dominic Montplaisir, Julien Corriveau, Jean-François Provençal et Dave Bélisle, ainsi que les deux filles des Appendices : Sonia Cordeau et Anne-Élisabeth Bossé.
Le bar a ouvert ses portes à 18h30 pour ensuite présenter le denier épisode des Appendices à 19h30. Puis les gens sont restés pour fêter cette fin de saison. Les Appendices sont en écriture pour la troisième saison qui sera diffusée à la rentrée en septembre.
Nominés pour plusieurs Gémeaux l’année dernière, croyons que les Appendices iront loin. Pour ceux qui voudraient revoir les épisodes des Appendices vous pouvez toujours aller sur le site web qui comporte aussi plusieurs bonus à l’adresse suivante : http://lesappendices.telequebec.tv
Ottawa sous-estimé
par Émilie Gouin
La capitale du Canada qui est Ottawa est une ville très touristique. Peu importe la période de l’année. En effet, en cette semaine de relance, plusieurs personnes en ont profité pour venir découvrir cette merveilleuse ville et ses environs. Bordé par le canal rideau qui est une merveille à découvrir par tous, Ottawa nous permet d’en apprendre davantage sur son histoire par la proximité de plusieurs musées qui adorent nous faire découvrir de nouvelles facettes de cette ville. Le parlement est l’un des plus beaux bâtiments à proximité de tous lorsqu’on se promène dans le centre-ville. Par ailleurs, plusieurs attraits touristiques nous sont offerts. Tel que le Marché By qui a été très populaire lorsque monsieur Obama a fait sa visite au Canada et qu’il est allé manger un biscuit au Moulin de Provence. Qui celui-ci, par ailleurs, en garde de merveilleux souvenirs grâce aux photos prises en présence d’Obama lors de la dégustation de son biscuit. Enfin, Ottawa n’est pas seulement un attrait touristique pour son grand marché ou c’est belles bâtisses, mais aussi pour les vues incroyables que le canal Rideaux nous offre, été comme hiver. Une ville à découvrir par tous!
Bilan sécurité ski
par Julien Lafond
La saison de ski tirant à sa fin, l’heure est au bilan. Outre le manque criant de neige ayant sévi durant l’hiver 2009-2010, plusieurs accidents mortels sont survenus sur les pentes, ce qui relance donc le débat entourant le port du casque obligatoire. Selon l’association des médecins d’urgence du Québec (L’AMUQ), 60% des traumatismes crâniens reliés aux sports de glisse pourraient être évités à l’aide du casque protecteur. La ministre Courchesne se range donc dans le camp des médecins et espère pouvoir déposer un projet de loi dans ce sens avant la prochaine saison.
La sensibilisation est encore plus grande cette année, alors qu’une actrice internationale, Natasha Richardson est décédée sur les pentes à Tremblant à la fin de la saison passée. Malgré tout, si tous s’entendent sur les bienfaits du port du casque, il reste que certains ne croient pas que la voie législative soit la meilleure option.
Joanie St-Jacques, une skieuse de 27 ans de Saint-Sauveur, estime qu’il faudrait d’abord privilégier l’éducation en matière de compétences: «C’est certain que le casque est un plus pour la sécurité, mais je pense d’abord qu’il faudrait que les gens aient de meilleures connaissances techniques et respectent leurs limites.»
Handbags, Handbags!
par Caroline Cousineau
«Handbags, Handbangs»
«Watches, Handbags, Chanel, Louis Vuitton, Rolex»
Plongée en plein coeur du Chinatown de New York, sous le soleil de midi, on se fait accoster, presque harceler, par toutes sortes de «dealers». Certains vendent des montres, des sacs à main ou des bijoux de toutes sortes. Des copies ou de la marchandise de contre façon? Il est facile de se laisser entrainer par la curiosité et le mystère entourant ce phénomène new-yorkais.
«Handbags, Handbags»
Au coin de la rue, sur Canal Street, une jeune femme sortant de nulle part, nous bloque le passage et s’écrit «Handbags, Handbags, Chanel, Prada, Louis Vuitton, do you want handbags?», brandissant une fiche avec tous les modèles de sacoches de grands designers. Sous l’effet de la curiosité et de l’aventure, nous acceptons de jeter un regard à sa fiche. Quelques minutes plus tard, nous sommes en train de la suivre à pied, à grande vitesse, à travers les ruelles du Chinatown. On arrive enfin à une camionnette stationnée sur la rue. La jeune femme jette un regard inquiet autour d’elle et nous lance : » Go, go, inside, go go» en ouvrant la porte arrière du véhicule. Nous nous précipitons à l’arrière, prenant place sur un banc aménagé, entouré de montagnes et de montagnes de sacs à main. «What do you want, what do you want? Prada? Chanel? Jimmy Choo?» Elle les vend 150$ pièce. Ils sont magnifiques, mais leur authenticité est en doute. Bien qu’ils sont accompagnés de certificats d’authenticité, nous ne sommes pas dupes. Nous avons finalement réussi à nous en tirer avec deux superbes sacs à main Chanel pour 35 et 40$. Dès qu’elle a obtenu son argent, elle a ouvert la porte et s’est écriée : » Out, Out, Out, Fast». Et nous avons pris des chemins divergents…
Les bouquins resteront plus cher même si le dollar canadien est à parité avec le dollar américain
par Sophie B Jacques
À l’approche de la parité entre le dollar canadien et le billet vert américain, les lecteurs canadiens devront tout de même débourser quelques dollars de plus que leurs voisins du Sud pour l’achat de leurs bouquins.
Comme l’explique la directrice générale de la Canadian Boosellers Association, Susan Dayfus, le prix des livres est négocié au minimum un an avant leur arrivée sur les tablettes. Les maisons d’éditions américaines sont autorisées, par les lois sur l’importation de livres canadiens, à majorer de 10% le prix d’un livre vendu au Canada par rapport à son prix américain. Cette différence de coût servirait à résorber les frais d’importation, d’expédition et de manutention des livres.
Quelques libraires avaient décidé de vendre leurs bouquins au même prix en 2007 alors que le dollar canadien avait atteint la parité, diminuant ainsi leurs marges de profits, déjà minimes.