Journée internationale des Femmes
par Alexandra DaPrato
Depuis 1977, les Nations Unies ont invité chaque pays à célébrer la « Journée internationale des Femmes » afin de sensibiliser les gens sur la situation des femmes et de commémorer leurs droits.
Le 8 mars, au cégep du Vieux Montréal, de jeunes étudiantes de l’école ont organisé des activités pour fêter la journée. Les activités se déroulaient toute la journée et un peu partout dans l’école. On pouvait participer à des projections, des ateliers artistiques, des discussions et des débats. Les thèmes abordés étaient la domination masculine, l’égalité entre les sexes, la pornographie, la femme comme un objet de vente et même la féminisation dans la langue française. Le tout se terminait avec un souper et un débat sur les principales luttes féministes.
« La Journée internationale des Femmes » est une journée pour fêter les victoires et les acquis et pour améliorer la situation des femmes.
L’opéra abordable
par Martina Muller
Le 3 mars dernier avait lieu la générale de l’opéra Le Consul de Giancarlo Menotti qui sera présenté les 5, 7, 9, 10 et 12 mars au Monument-National.
C’est l’occasion idéale pour assister à un opéra de qualité à prix abordable, puisqu’il est interprété par les chanteurs de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Depuis 1984, l’Atelier permet à de jeunes chanteurs de talent de perfectionner leur art par l’entremise de coaching individuel, de séminaires, de cours divers et de classes de maître. Dès leur première année, les interprètes sont appelés à participer aux productions de l’Opéra de Montréal, ce qui constitue pour eux un enrichissement inestimable. Ils présentent en plus, pour la septième année consécutive, leur propre production, en collaboration avec le Monument-National. La pièce Le Consul dépeint un état totalitaire d’après-guerre, dans lequel Magda Sorel tente désespérément d’obtenir le papier qui lui permettra d’aller rejoindre son mari en exil. On y découvre, entre autres, le talent de Caroline Bleau et Étienne Dupuis, incarnant le couple principal.
Papillons en liberté se poursuit
par Josiane de la Sablonnière
Depuis le 17 février dernier, les papillons sont de retour au Jardin botanique pour l’exposition Papillons en liberté. Pour cette 14e édition, les visiteurs pourront en apprendre davantage sur plus de 1500 papillons soit 75 espèces différentes.
C’est dans la grande serre du Jardin botanique, où la température est idéale pour les papillons, que les visiteurs découvriront cette grande variété d’insectes venant de plus d’une dizaine de pays. Ainsi, il est possible de contempler des papillons ayant des couleurs, des formes et des grosseurs totalement différentes. D’ailleurs, le plus gros papillon de l’exposition est un papillon nocturne et se nomme le papillon cobra et mesure entre 15 et 25 cm.
Des spécialistes seront sur place pour répondre aux questions ainsi que pour présenter de petites chroniques. L’exposition prendra fin le 25 avril.
Olympiade d’improvisation
par Jean-Gabriel LaSalle
Hier soir avait lieu à la boite à Marius une olympiade d’improvisation. Ce match spécial organisé par la Sprite mettait en vedette 5 délégations locales représentant chacun un « ‘pays »’ pour la cause.
L’olympiade consistant à faire des improvisations comparées entre tous les délégations de sorte à en éliminer une à chaque tour. La compétition prenant du mordant au fils des bières consommées, le public quant à lui semblait totalement conquis par l’organisation de la soirée. La Salle pleine était d’abord pleine de rires et une atmosphère détendue et fêtarde y régnait du début à la fin.
DuoDENUM
par Guillaume Barbeau
Pendant une semaine la galerie La Galerie ESPACE accueille l’exposition d’arts visuels DuoDENUM. Cette exposition est organisée par deux finissantes du programme d’arts plastiques du Cégep St-Laurent ; Danaé et Simone.
Les deux artistes présentent au grand public, principalement constitué de parents et amis, des œuvres faites d’objets recyclés et trouvés ici et là. Des sculptures faites à même un tronc d’arbre sur lesquelles on a collé des sous noirs ou bien des photos montrant des matières recyclées en très gros plan démontrent la grande versatilité au niveau créatif de ces deux jeunes artistes très « à la page ». Il s’agit d’une première exposition pour les deux jeunes dames, mais à voir la réaction plus que positive de la foule présente et les nombreux commentaires élogieux dans le livre d’or (que l’on peut signer à la sortie), on peut facilement déduire qu’elles remettront ça un jour.
Simon Laliberté photographe
