Mardi le 11 mars 2025

French Kiss

par Mylène Lessard

C’est le lundi 7 mars  dernier qu’a eu lieu la première du film French Kiss au cinéma Impérial à Montréal.

Le film met en vedette Claude Legault, Céline Bonnier et le bon ami de Claude, Didier Lucien, avec qui il a joué dans la série Dans une galaxie près de chez vous. Pour l’occasion, une rose était remise aux femmes, lors de l’entrée pour le visionnement du film. Sur le tapis rouge, le réalisateur Sylvain Archambault, qui a aussi réalisé Pour toujours les Canadiens a donné beaucoup de mérite à la scénariste José Fréchette pour sont écriture extraordinaire; ce que les acteurs semblaient approuver. Un travail d’équipe, une belle chimie et une bonne réalisation vont faire le succès de ce film.

Le film French Kiss, raconte l’histoire d’un homme nommer Fred (Claude Legault) qui drague Juliette (Céline Bonnier) avec la fameuse phrase « On s’est pas déjà vus quelque part? » par malheur Juliette prend alors Fred pour un certain Robert qu’elle a connu. C’est là que les mensonges commencent. Plus Fred s’enfonce, plus il tombe amoureux. Plus il est amoureux et plus il a peur d’avouer ses mensonges. Une histoire qui risque de mal finir…

Les 40 ans de la Tempête du siècle

par Elodie Desrochers

C’est le 7 mars dernier qu’une tempête de neige frappait le Québec de plein fouet, les accumulations de neiges allant de 30 à 50 centimètres.
C’est en cette journée de tempête que plusieurs personnes se remémorent la « Tempête du siècle » du 3 au 5 mars 1971 qui fête cette année ses 40 ans.

C’est durant ces trois journées que Montréal réussit à accumuler plus de 50 centimètres de neige. D’autres régions avaient accumulées jusqu’à 80 centimètres de neige. C’est alors, que la température força la fermeture des écoles, bureaux, commerces et même le Canadien de Montréal annula un match.

Cette tempête nécessita aussi 500 000 chargements de neige pour déneiger les rues de Montréal.

La tempête fit alors 17 morts dont la plupart étaient des personnes âgées, décédées d’une crise cardiaque.

Les éoliennes remises en question

par Marylène Corbière
Le 5 mars dernier, au rang Saint-Georges à Saint-Valentin, avait lieu un rassemblement de citoyens et de citoyennes contre les éoliennes. Le but de ce regroupement de personnes visait à informer les citoyens sur l’inquiétude que certains ont par rapport aux installations des éoliennes dans leur milieu de vie.

Il y eut des discours par rapport aux impacts négatifs pour la santé et pour la qualité de vie des gens vivant en bordure d’éoliennes industrielles. D’autres qui informaient les gens sur les études selon lesquelles les éoliennes devraient être à une distance minimale de 750 mètres de toute habitation. On y apprit que les municipalités n’ont jamais été consultées sur l’implantation d’éoliennes dans leur propre territoire et que malgré leur refus, à ce jour, il est toujours question de les implanter. On invitait ensuite les gens à l’audience publique du BAPE qui aura lieu le lundi 7 mars 2011. Beaucoup de sujets ont été traités pour arriver à convaincre les gens que la population de Saint-Cyprien-de-Napierville (8 mégas éoliennes de 483 pieds prévues), de Saint-Valentin (21 éoliennes industrielles de 450 pieds prévues) et de Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix (4 éoliennes industrielles de 450 pieds prévues) sont en total désaccord avec le projet éolien.

Jeanne Mance reconnue cofondatrice de Montréal

De gauche à droite : responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif, Helen Fotopulos, Directeur général du CHUM, Christian Paire, directrice du Centre Jeanne-Mance, Soeur Thérèse Payer, Maire de Montréal, Gérald Tremblay, Jaques Lacoursière, historien.

par Benoit Robillard

À la veille de la journée internationale de la femme, les médias étaient invités à une conférence de presse convoquée par le Maire de Montréal, Gérald Tremblay. C’est dans le salon Jeanne-Mance de l’Hôtel de Ville que le maire à annoncé l’ouverture des démarches pour la reconnaissance de Jeanne-Mance comme cofondatrice de Ville-Marie, et par conséquent, de Montréal.

En compagnie du directeur général du CHUM, M. Christian Paire et de la directrice du Centre Jeanne-Mance, Soeur Thérèse Payer, M. Tremblay s’est dit très heureux de savoir que cette grande femme sera enfin reconnue pour ses actions et son implication dans la fondation de Montréal. La ville à même mandaté l’historien Jacques Lacoursière pour investiguer et vérifier rigoureusement les documents historiques afin de valider la reconnaissance officielle de Jeanne-Mance.
Ce premier pas vers la reconnaissance des femmes dans l’histoire de Montréal fait partie d’une série d’annonces qui consistent à reconnaitre officiellement une femme ayant contribué à l’essor et au développement de Montréal, et ce, à chaque 8 mars d’ici 2017, date du 375e anniversaire de Montréal.
Mandatée par Anne D’Autriche, Jeanne-Mance débarque en Nouvelle-France le 17 mai 1642. Elle fondera l’hôpital de l’Hôtel-Dieu sur le site où le sieur de Maisonneuve construira Ville-Marie. Elle consacrera toute sa vie à cet hôpital et elle mourra en 1673

Politique et opéra

par Valérie Charlebois

Les 5, 7, 9, 10 et 12 mars 2011 ont lieu les prestations de la pièce Le Consul de Giancarlo Menotti un atelier lyrique de l’Opéra de Montréal au Monument-National.

Un atelier lyrique est un laboratoire de perfectionnement pour jeunes chanteurs d’opéra professionnels où dans ce cas-ci pour une septième saison, les jeunes chanteurs présentent leur propre production en collaboration avec l’École nationale de théâtre du Canada et le Monument-National. Menotti créé une pièce qui conjugue tradition et modernisme avec de grandes envolées lyriques. Dans cette histoire proche de notre réalité, un couple devra affronter la bureaucratie et l’indifférence afin d’essayer de sortir d’un pays totalitaire.

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