CHAMPS LIBRES |

La location des films en évolution

par Marc-Olivier Maheu

Le marché de la location de films au Canada a connu des changements drastiques durant ces dernières années. Cette observation est notamment due à l’énorme compétition qu’exercent plusieurs compagnies de vidéo sur demande, et de location de films sur Internet. Netflix, qui est la plus lucrative d’entre elles, a vu ses chiffres d’affaires atteindre de nouveaux sommets avec près de 1,2 milliard $ US lors du quatrième trimestre de l’année 2013.

N’ayant plus besoin de se déplacer pour louer leurs films, la population se penche de plus en plus vers ces moyens pour regarder des films. Les clubs vidéo ont vu leurs achalandages dépérir, ce qui a causé la fermeture de plusieurs d’entre eux, voire même les pousser à la faillite. C’est d’ailleurs le cas de la compagnie nord-américaine Blockbuster qui a annoncé sa faillite au Canada en 2011. Le service humain qu’offrent ces magasins ne suffit plus pour rivaliser avec le service en ligne.

Investissement important dans le chocolat à St-Hyacinthe

par Frédérique Duchesne

L’industriel suisse Barry Callebault a pris la décision d’investir 14 millions de dollars dans ses installations situées à St-Hyacinthe. Il prévoit hausser la production de chocolat de 30 000 tonnes supplémentaires.

Il faut noter que l’usine de la rue Nelson fabrique déjà un peu moins de 175 000 tonnes de chocolat par année. Pour ce faire, un immense silo à sucre a été construit récemment. De plus, Barry Callebault a également fait l’acquisition d’équipement permettant d’alimenter en sucre une ligne de production de chocolat liquide. Cela contribuera à l’embauche de nouveaux employés. En effet, l’usine de St-Hyacinthe prévoit embaucher éventuellement de 10 à 15 employés. Dans le même ordre d’idées, il y à également la multinationale américaine Hershey qui le mois dernier à investit près de 34 millions de dollars pour l’agrandissement de l’usine Brookside qui est elle aussi située à St-Hyacinthe.

Zoom sur mon patrimoine au musée du Haut-Richelieu

par Helsa Desgagné
Le 23 janvier dernier, les cinq gagnants de la 6e édition du concours photo « Zoom sur mon patrimoine » ont été annoncés.
Au volet grand public, Jean-Pierre Guillet a gagné le prix du jury et Philippe Dumont a reçu le prix Coup de cœur du public. Au volet scolaire, le prix du jury, le prix Coup de cœur du public et le prix Coup de cœur du député ont été remportés par Pascale Tremblay Tétreault, Juliane Scott et Émilie Larue respectivement.
Toutes les œuvres du concours sont exposées jusqu’au 2 février chez Art[o] et au Musée du Haut-Richelieu.
Chaque année, le concours offre la chance aux photographes amateurs et professionnels de la région de Saint-Jean-sur-Richelieu de s’exprimer sur un thème. « Ce que les portes racontent », le thème de cette année, voulait mettre en lumière les traces du passé grâce à des photographies de portes d’habitations construites avant 1960.

Le thème de la prochaine édition sera annoncé cet automne.

Québec Solidaire en aide aux assistés sociaux

par Samuel Harvey

MONTRÉAL, 15 avril – Amir Khadir ainsi que plusieurs représentants de Québec Solidaire ont fait signer ce matin devant la station de métro Mont-Royal une pétition visant à annuler les modifications au programme de l’aide sociale. Françoise David, députée dans Gouin, était présente à la station Beaubien de 17 à 18 h.

Cette pétition a déjà été signée par près de 12 000 personnes. Elle est disponible sur le site de l’Assemblée nationale.

Insatisfaction des assistés sociaux

par Samuel Harvey

MONTRÉAL, 11 avril – Plusieurs manifestants se sont réunis aujourd’hui au parc Émilie-Gamelin pour une manifestation visant à dénoncer les coupures apportées par la ministre Agnès Maltais au programme d’aide sociale québécoise. Ils souhaitent que le Parti Québécois renonce à ces mesures. Selon eux, il s’agirait d’une violation des droits humains fondamentaux.

Il s’agit ici de coupures de 129 $ par mois imposées à certaines catégories de prestataires de l’aide sociale.

On compte parmi eux les gens de 55 à 57 ans ainsi que les couples ayant un enfant de moins de cinq ans. Cette réforme obligera ces assistés sociaux à se soumettre à une démarche de recherche d’emploi s’ils désirent toucher une compensation de 195 $ par mois.

Cette réforme touchera environ 13 000 personnes dès la première année.