Sculptures de glace rue Saint-Denis
Du 2 au 5 février s’est déroulé FRIMA à Montréal. Toute la fin de semaine, des sculpteurs ont créé plus d’une trentaine d’oeuvres le long de la rue Saint-Denis.
Parmi les sculptures fabriquées, il y avait des terrasses destinées aux commerçants, où ils ont pu faire déguster leurs produits, des tables de ping-pong, air hockey, mississippi et bien d’autres. Un atelier de sculpture de glace était donné pendant lequel les gens pouvaient apprendre les rudiments du métier avec des sculpteurs professionnels. C’est l’entreprise québécoise Sculpture BeauRegard qui était responsable de la création des multiples oeuvres de glace. Cette compagnie familiale est reconnue à travers le monde pour ses sculptures.
Depuis 1999, Mélineige Beauregard (fille du fameux sculpteur Guy Beauregard) a remporté plus de soixante prix, dont plus de la moitié sont des premières places. En 2016, elle a remporté le titre de Championne du monde en gagnant le championnat mondial de sculpture de sable en Taïwan. L’événement n’a pas manqué d’attirer les curieux.
Sauts de motoneiges en plein centre-ville
Cette fin de semaine, dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, se déroulait un événement peu commun dans les rues du centre-ville. C’est au Square Philips que 10 champions mondiaux de motoneige défiaient la gravité en s’élançant sur des rampes à plus de dix mètres dans les airs sur une distance d’une vingtaine de mètres.
Samedi le 4 et dimanche 5 février, les amateurs de sports extrêmes furent comblés lorsque Motoneige MTL Xtrem, présenté par Tribu Expérientiel, introduisait pour une première fois dans les rues de la métropole trois démonstrations de motoneige urbaine. Dans une formule plutôt « freestyle » que compétitive et avant tout pour célébrer la nordicité, les meilleurs motoneigistes de la planète étaient réunis pour en faire voir de toutes les couleurs à une foule en délire. Des gens de tout âge ont bravé le froid et se sont mobilisés pour venir assister à ces manœuvres.
Six années pour restaurer la station Berri-UQÀM
Jeudi 2 février 2017, la ville de Montréal a mis une somme assez importante sur le réseau du transport de la STM. Puisque Berri-UQAM est l’une des
stations de métro les plus importantes à utiliser, car elle joint la ligne orange, verte et jaune, ils ont décidé de lui donner un petit coup de jeune.
Remise à neuf des plafonds suspendus, les murs seront ornés d’un nouveau décor fait de pastilles en pâte de verre blanche, le revêtement du sol sera restauré et l’éclairage bonifiés. Les travaux sont financés par le ministère des Transports, de la mobilité durable et de l’électrification des transports.
Cependant, les travaux ont débuté depuis près de 6 ans, ils ont débuté en été 2010 et ils ne sont toujours pas finis. Il y a beaucoup d’impatience chez les utilisateurs de la station, les escaliers roulants sont souvent fermés. Selon les nombreuses affiches mises sur les murs de la station Berri-UQAM devrait être complètement rénové d’ici juillet, mais c’est dur à croire.
Le parcours d’une enseignante en philosophie
Lucie Kla, professeur de philosophie au Cégep du Vieux Montréal, est dans le domaine de l’enseignement depuis maintenant 18 ans. Elle a fait ses études en Côte d’Ivoire, pays de l’Afrique occidentale d’où elle est originaire. Ses sept ans au secondaire dans une concentration littéraire, ses quatre années à l’université au département de philosophie pour l’obtention d’une maîtrise et ses deux années supplémentaires à l’École Normale Supérieure pour étudier la pédagogie en même temps que l’approfondissement des théories philosophiques, lui ont permis de devenir professeur de philosophie. Évidemment, le système d’éducation en Côte d’Ivoire est différent de celui du Québec. Il lui a donc fallu obtenir une équivalence pour chacun de ses diplômes pour pouvoir enseigner lorsqu’elle est arrivée ici en février 2007.
Cette enseignante a choisi la philosophie par amour pour cette discipline. Elle croit que la philosophie peut nous permettre « de mieux comprendre les autres disciplines, d’apprécier le sens de la vie et surtout, de nous ouvrir sur le monde. ». Elle adore la philosophie et elle adore la partager avec les autres.
Les pee-wee jouent une partie serrée
La semaine dernière, du 26 janvier au 5 février, se déroulait la 36e édition du tournoi provincial pee-wee de Saint-Hubert au Centre sportif Rosanne-Laflamme. Ce tournoi de hockey regroupait au total 38 équipes de jeunes joueurs âgés de 11-12 ans. Parmi les catégories présentes, il y avait de la double lettre (AA, BB) et de la simple lettre (A, B et C). La double lettre est, en fait, de plus haut niveau que la simple lettre.
Le Dimanche 29 janvier à 19h40, les Royals d’Ouest-De-L’Île affrontaient les Phoenix du Richelieu. Ces deux équipes de la catégorie AA, ont joué une partie très serrée. Les Phoenix ont compté le premier but en première période. Il a fallu attendre jusqu’en fin de troisième période pour qu’un autre but soit compté. En effet, les Royales d’Ouest-De-L’Île ont répliqué à 5 minutes de la fin. Les parents dans les estrades étaient en délire face à ce pointage. Puis quelques secondes plus tard, un défenseur des Phoenix, après avoir intercepté une passe de l’autre équipe, a fait une montée spectaculaire du fond de sa zone défensive jusque dans la zone adverse. Après avoir déjoué ses adversaires, il a compté le but gagnant de son équipe. Les Phoenix du Richelieu ont alors remporté leur première partie du tournoi.