Les temps sont durs pour les étudiants
par Caroline Lortie
Le temps des Fêtes a frappé fort pour les dépenses et les temps supplémentaires au travail, mais après ce temps, l’économie des gens ont baissé, ce qui nuit aux employés dans les services. Une majeur partie des employés perdent beaucoup d’heure de travail ou perdent tout simplement leur emploi. Ceux qui sont le plus touchés sont les jeunes adultes. Certains s’oblige de travailler à deux endroits différents pour payer leur étude ou leur loyer.
Quelques-uns de ce groupe doivent quitter les études quand ils n’ont pas la chance d’avoir un prêt et bourse. Ils doivent attendre l’an d’après pour continuer. Tout de même, le problème reste, sans emploi, ils n’ont plus d’étude ni d’occupation durant la journée. Pour ceux qui ont toujours un emploi, ils ne sont pas tous satisfait. Quelquesfois, ils se retrouvent avec des chiffres de nuit ou ils font des six jours par semaine. Bref, pour la plupart des gens, l’après-fête est le pire moment de l’année.
Un accident cause du mécontentement
par Amélie Gagné
le lundi premier février 2010
Le 1er février dernier, un accident a mis en retard bon nombre d’usagés de la ligne de train reliant Deux-Montagnes et Montréal.
Survenu entre la station Roxboro-Pierrefonds et la gare centrale, un accident a fait arrêter tout trajet en direction du centre-ville. L’accident survenu vers 6h40 au matin, obligea des milliers d’utilisateurs de se tourner vers un autre moyen pour se rendre à Montréal en pleine heure de pointe du lundi avant-midi.
Des centaines de mécontents ont du attendre un autobus en direction des stations de métro les plus près, la STM cependant n’a pas plus fournir plus de trajets qu’à l’habitude. Cet évènement survient un peu plus d’un an après les nombreux retards qu’avait eu l’Agence métropolitaine de transports (A.M.T) en l’espace de moins d’un mois causés par des bris mécaniques semblables à l’incident de ce matin.
Portes ouvertes au centre aquatique Édouard-Dubord
par Katrine Pellerin
Samedi dernier, à Victoriaville, se tenait une journée portes ouvertes au nouveau centre aquatique Édouard-Dubord. Situé au 500 boulevard Jutras Est, à quelques pas de la Polyvalente le Boisé et du Cegep de Victoriaville, l’endroit est très accessible. Pour l’occasion, le maire de la municipalité, Alain Rayes, était présent. L’activité s’est déroulée entre 10h et 16h et permettait aux citoyens de découvrir cette piscine tant attendue.
Durant la journée, une visite de l’endroit était organisée. Plusieurs personnes situées à différents endroits étaient mandatées pour guider et informer les gens. Ce centre aquatique est composé de deux bassins dont l’un avec une entrée plage. L’endroit a été conçu pour accommoder les familles. L’ouverture officielle des portes de cette nouvelle piscine s’est fait lundi le 1er février. À cette date, toutes les activités aquatiques ont été tranférées, depuis le centre communautaire de Victoriaville, au centre Édouard-Dubord.
Les étudiants se mobilisent via la musique équitable
par Virgil-Gabriel Lévesque-Prévost
C’est le soir du 30 janvier 2010 que l’orchestre Philarmonique Équitable, anciennement l’orchestre des Jeunes Laval Laurentides, a fait son deuxième concert.
Ce nouvel ensemble est composé pour la plupart d’étudiants de niveau collégial ou universitaire et de musiciens talentueux provenant du secondaire. L’organisme a été créé en 2009 et a pour but premier de produire des concerts bénéfices pour des organismes d’entraides variés. Par ailleurs, cette année, les fonds recueillis lors du second concert ont été versés au centre jeunesse du Mont St-Antoine afin d’aider les jeunes de ce centre à continuer sur la bonne voie.Donc, en plus de nous offrir des spectacles de qualité, cet orchestre nous permet de participer à aider une bonne cause.C’est donc faire d’une pierre deux coups que d’aller voir un concert de cet orchestre!
L’Igloofest se termine
par Nina-Michèle Le Floch
C’est suite aux trois dernières fin de semaines (Jeudi-Vendredi-Samedi) du mois de janvier que l’Igloofest s’est terminé, samedi le 30, au quais Jacques-Cartier du vieux-port, comme il l’était prévu. C’était dans une ambiance hivernale et chaleureuse que les participants à la 4ième édition du festival arrivaient tous les soirs. La musique électronique faite en directe par les DJs et les effets de lumière étaient présents afin de faire danser le plus grand nombre de personne possible qui en profitaient en même temps pour se réchauffer un peu. Et si la danse n’était pas suffisante pour se réchauffer l’endroit, lui, était parsemé de poêle à bois, de poubelle fumante ou de lumière thermique qui finissaient le travail. Le festival était pimenté par des scéances de photo gratuites et par un concours du plus beau « one piece ».
Simon Laliberté photographe
