Hommage à Terry Fox
par Laurence Dumas
Le 12 avril 1980, Terry Fox amorçait son marathon de l’espoir afin d’amasser 1 million de dollars pour les recherches pour le traitement du cancer. Terry Fox s’était fixé comme objectif de faire une course Trans-Canada. Partant de St-John’s à Terre-Neuve il devait se rendre jusqu’à l’Île de Vancouver l’équivalant d’une distance de plus de 5000 kilomètres! Tout comme la devise du Canada, il voulait aller d’un « océan à l’autre ». Pendant la course, il décida de changer son objectif premier, et ainsi d’amasser 1 $ par personne… Ce qui en fin de compte équivalait à 25 millions de dollars (population du Canada en 80).
La générosité des gens était sans limites, et donc ce but accessible. À Montréal, il fut impressionné par l’attention que lui accordait les gens et médias. Il dut malheureusement s’arrêter au nord-est de Thunder Bay en Ontario, son cancer s’en étant pris à ses poumons. Après 143 jours de course, il avait parcouru une distance de 5373 kilomètres. Terry Fox s’est éteint le 28 juin 1981 à l’âge de 22 ans… Il a suscité l’enthousiasme et l’espoir partout à travers le monde. Il a démontré un exemple de persévérance incroyable, voire inégalée.
La neige nous surprend!
par Sarah Provençal
La pluie complique un match de rugby
par Jean-Sébastien Dénommé
Laval, le samedi 8 mai. C’est sous un ciel mouvementé que les Nomades de Laval (chandail vert) affrontaient les Braves de Trois-Rivières (chandail bleu) au Laurier High School. La température a joué un rôle important dans cette défaite crève-coeur des Nomades. Le gazon mouillé a rendu la manipulation du ballon compliqué et les deux équipes ont eu beaucoup de difficulté à manipuler le ballon et construire du jeu soutenu. En première demie, les nomades ont dominé la partie avec une défensive solide et une attaque qui a su profiter de c’est chance. Toujours 0-0 le ciel s’est éclairci pour la deuxième demie où le jeu ne s’est pas amélioré des deux cotés. Malheureusement pour les nomades une simple erreur au centre du terrain s’est transformée en essai, le seul du match. Malgré la défaite, le jeu soutenu des nomades promet pour les prochaines parties à venir.
Totem et le Cirque du Soleil
par Julie-K De Montigny
Le Cirque du Soleil est de retour à Montréal et cette fois-ci avec sa nouveauté, TOTEM, auteur et mise en scène par Robert Lepage. Sous le Grand Chapiteau du Vieux-Port, l’évènement y tiendra place du mois d’avril à juin 2010. Ce spectacle sera également présenté à Québec à partir du 22 juillet. Il fait suite au spectacle présenté l’année dernière aux quais Jacques-Cartier. Ces grandes tentes qu’on associe automatiquement à ces artistes et à la grande réputation reconnus mondialement de gens d’ici, sont déjà encrées près du Saint-Laurent.
À propos du spectacle : « TOTEM retrace le périple fascinant de l’espèce humaine, de son état primitif d’amphibien jusqu’à son désir ultime de voler. Ses personnages évoluent sur une piste en forme de tortue géante, symbole d’origine de plusieurs civilisations voler. » (www.cirquedusoleil.com)
Grande Braderie de la Mode Québécoise
par Julie-k De Montigny
Cette semaine les 15-16-17-18 avril se déroule la Grande Braderie de la Mode Québécoise. Cet événement de mode montréalais est connu, reconnu, couru et attendu : il a commencé en 1994 avec quelque 50 clients, la grande braderie attire maintenant plus de 16 000 personnes durant quatre jours. Environ 35 à 40 designers de mode participent à chaque édition et l’endroit est toujours entassé de monde qui cherche l’item qui sort de l’ordinaire ou l’accessoire qui sera mettre une touche de fantaisie dans leur garde-robe. L’évènement donne aussi la chance à de nouveaux designers de se faire voir. Parmi eux, cette année on y retrouve Kerel et June design deux créatrices pleines d’ambition déterminée à réussir. Ayant comme atout une collection de vêtements de relaxation faite pour le yoga et une collection toute fraiche de bikinis, leur kiosque a bien sûr attiré un grand nombre d’intéressés.
La clientèle est majoritairement féminine et vise les femmes d’affaires et professionnelles ayant des revenus supérieurs à la moyenne ainsi qu’en étudiantes, jeunes professionnelles et touristes de passage. La braderie à la base a été instaurée pour deux raisons principales : laisser la chance aux designers d’écouler leur surplus d’inventaires et leurs échantillons ainsi que permettre aux consommateurs d’acquérir des vêtements de créateurs à petits prix par le fait même de découvrir en même temps la mode québécoise. Voilà une occasion en or de magasiner tout conscientisant sur la mode d’ici.
Laura Vallée photographe
