Le pont Mercier à sens unique
par Alexandra St-Jean
Le 21 janvier dernier, le ministère du Transport du Québec communiqua la décision de circulation à sens unique sur le pont Mercier pendant la fin de semaine du 28 et 29 janvier 2012.
Le pont Mercier circulait en direction de la Rive-Sud de 15h à 4h. De 4 h à 5 h, il n’y avait aucune circulation permise sur le pont afin d’inverser le courant. De 5h à 14h, la circulation était en direction de la ville de Montréal. Certains utilisateurs du pont furent mécontents de cette décision et auraient préféré une circulation à contresens. André Girard, vice-président des communications de la société des ponts fédéraux, avisa les utilisateurs mécontents qu’à cause des conditions climatiques de cette saison, il était très difficile de prévoir une circulation à contresens. L’utilisation de cônes de délimitation créait une problématique lors des opérations de déneigements et pouvait affecter la sécurité des usagers du pont. Espérons que les usagers comprendront que cette décision fût prise pour leur sécurité.
Les Diables s’inclinent devant les Gladiateurs
Avait lieu une partie hors de tout repos dimanche dernier pour les Diables de Mont-Tremblant.
L’équipe tremblantoise de hockey junior AA recevait effectivement les Gladiateurs des Moulins, meilleure équipe de la ligue. N’ayant pas eu de chance, les Diables s’inclinent 4-1. Malgré des efforts soutenus, les gars n’ont pas pu remonter la pente.
Joey McMillan a exécuté le seul but en troisième période, aidé d’une passe de Mickaël Boyer.
Ce sera samedi prochain, le 4 février, qu’aura lieu le tout dernier match à domicile de la saison. Les Diables joueront contre les Olympiques de Repentigny à 19 heures, à l’aréna de Mont-Tremblant situé au 625 rue Cadieux.
Grève générale en vue
MONTRÉAL — Le 2 février passé, c’est à l’UQAM, plus précisément dans le pavillon Judith-Jasmin, qu’un grand nombre de jeunes venant de l’UQAM et du cégep du Vieux Montréal se sont rassemblés pour « jaser » de la possible grève générale illimitée. Dans l’aire principale du pavillon, c’est sans surprise que l’on pouvait percevoir un grand carré rouge fait de tissus avec la mention « Vers une grève générale! » Plusieurs étudiants se sont réunis pour créer quelques longues banderoles où l’on pouvait lire des phrases-chocs destinées au gouvernement Charest. On pouvait d’autant plus entendre les mécontentements que les étudiants prenaient plaisir à crier à tue-tête contre la hausse des frais de scolarité au niveau universitaire.
L’AFESH a annoncé hier que ses membres présents auraient voté à 80 % en faveur de la grève. Dans le cas du cégep du Vieux Montréal, c’est le 8 février prochain que l’assemblée générale aura lieu. Rappelons que pour déclencher un mouvement d’une telle ampleur, il doit y avoir plus de 7 associations dans 3 campus totalisant au moins 20 000 personnes qui soient mobilisées.
Hôtel de glace à Montréal
Au Coeur du festival des neiges, situé au parc Jean-Drapeau, se tient l’incroyable hôtel de glace. Pour sa première année, l’hôtel comporte 6 igloos, 15 chambres, 10 suites thématiques, un restaurant, un bar et une magnifique chapelle pour ceux qui désirent s’unir. À l’intérieur comme à l’extérieur, l’hôtel est construit entièrement de glace et est agrémenté d’effets lumineux, de sculptures ainsi que de détails architecturaux qui en valent le détour.
Pour cette année, les concepteurs ont décidé de mettre la ville de Montréal en avant plan. Plusieurs bâtiments de glace y seront reproduits tels que l’Oratoire St-Joseph, le marché Bonsecours, le Village Olympique et le Musée des Beaux-arts.
Que ce soit pour une visite ou pour une nuitée, l’hôtel de glace ne vous laissera certainement pas indifférent.
Françoise Lavoie présente ses photographies hybrides
La Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal accueille depuis le samedi 28 janvier le travail de l’artiste Françoise Lavoie.
Réalisée à l’aide d’une collection de 500 négatifs provenant du père de l’artiste, l’exposition intitulée Au-delà du monde, offre aux spectateurs une réminiscence du passé; Lavoie confère en effet un second souffle à ces vieux clichés en y superposant des vues du temps présent à l’aide d’un sténopé, ce dernier agissant telle une chambre noire. Ce processus marie les négatifs datant des années 40 à la lumière environnante et unit de ce fait les éléments du passé à ceux du présent. L’artiste, chargée de cours à l’Université du Québec à Montréal, accueillait les visiteurs lors du vernissage en précisant les différents aspects de sa démarche. L’exposition sera présentée jusqu’au 26 février 2012.