L’hiver à la rencontre de l’Igloofest
par Melissa Bascunan
Ce n’est pas la température qui empêche les gens d’aller célébrer à la 6e éditions du Igloofest qui se déroulaient sur le quai Jacques Cartier au Vieux-Port.
Des milliers de gens de partout dans le monde se sont déplacés pour avoir la chance d’écouter plusieurs Dj de musique électronique, tels que Diplo (Le Dj de Kanye West), dans une atmosphère hivernale. Sur le site on peut y retrouver 2 scènes, la principale et plus au fond, une tente en forme d’igloo. Il y avait quelques activités offertes ainsi que des feux de camp un peu partout pour pouvoir s’y réchauffer de temps à autre. Une des particularités très attrayantes, non seulement les bars étaient faits de glaces, mais aussi les employés faisaient de leur mieux de nous mettre dans l’ambiance. De plus en plus, ce festival prend de l’ampleur et continue d’évoluer dans notre petite ville qui se fait bien remarquer !
L’Igloofest se termine bien
par Paméla Lajeunesse
Le 28 janvier, Quai du Vieux-Port, dernière soirée de l’Igloofest . Soirée où les Montréalais, autant de l’époque de Steven Spilberg que de notre Xavier Dollan, ont enfilé leurs plus belles laideurs colorées des années 80 pour danser sur de la musique techno de Marcel Dettmann & Ben Klock quant à lui bien à jour.
Histoire de réchauffer ce petit coeur hivernal, les festivaliers pouvaient profiter des feux en mangeant de la guimauve ou boire un verre dans les bars de glace. Plusieurs partenaires se faisaient compétition: les tires à la corde de Guru (boisson énergisante) ,le dôme de Virgin Mobile avec des DJ locaux, la bière Jagermeister avec ses macarons lumineux, hôtesses dansantes et la boîte vidéo ou l’ont pouvaient réaliser des vidéos possiblement choisis pour YouTube.
Tout ce beau monde dirigé par un personnel abordant peinture de guerre style « ninja » . Bref, tout pour profiter pleinement, sans avoir besoin d’être amateur de musique techno. De quoi vous faire porter avec fierté la tuque fluo de l’Igloofest.
Le pouvoir de la créativité
par Andrée Henry-Laroche
Les gens sous-estiment grandement le pouvoir de la stimulation de la créativité chez les jeunes. Une grande stimulation de la créativité sans nécessairement vouloir créer des artistes vise plutôt à encourager la résolution de conflits et trouver des solutions aux problèmes donnés, ainsi que définir une plus grande confiance en soi et un plus grand pouvoir de parole chez les gens, mais surtout les jeunes enfants.
Un de ces moyens de stimulation pourrait intéresser bien des familles, car la CinéRobothèque de l’ONF, située au 1564 Saint-Denis, offre tous les dimanches des cinéateliers où participent petits et grands. Dimanche le 29 janvier 2012, les ateliers visaient à créer une animation avec du papier cartonné. Tout d’abord, les familles devaient définir une histoire dont la durée était entre 15 et 20 secondes tout en gardant en tête qu’un maximum de 2 morceaux de carton pouvait être déplacé pour créer un mouvement. Ensuite, on plaçait les pièces sur une table lumineuse où une caméra était surélevée pour prendre des photos entre chaque mouvement ainsi que capter tous les déplacements des mains que l’on peut visualiser à l’aide de l’ordinateur. La CinéRobothèque offre également des activités d’animation plus poussée pour les 16 ans et plus, d’une durée de 10 semaines qui s’appelle ‘Initiation du cinéma d’animation’ pour ceux qui désirent plonger plus profondément dans le domaine.
Première de Don Juan
par Jessy Gosselin
C’est le 2 février dernier qu’a eu lieu la première du spectacle musical Don Juan édition 2012. Admirateurs, famille et amis se sont réunis à la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts pour accueillir la nouvelle troupe sur scène.
Parmi la distribution, seule Marie-Ève Janvier et Jean-François Breau étaient encore de la partie, tenant chacun leur rôle respectif de Don Juan et Maria. Parmi les nouveaux noms ont pouvait compter ceux de Natasha St-Pier, de Jonathan Roy, d’Étienne Drapeau, d’Amélie B. Simard et de Normand Lévesque. Félix Gray, l’auteur de la comédie musicale, a dit avoir voulu déstabiliser les spectateurs en proposant, autour de ses deux têtes d’affiche, de nouveaux visages.
I.No à la Salsa Rosa
par Yohann Demers-Gingras
I.No, groupe de musique de style folk/rock/soul composé de Amelie No au chant, Simon Pedno à la guitare, Olivier Bolieu à la batterie ainsi que Alex Blais à la basse, était de passage à la Sala Rossa pour le lancement de leur premier album, « Haunted Hearts ».
Le quatuor a joué quelques pièces sorties de leur album éponyme et a reçu un accueil chaleureux de la part des spectateurs qui se laissaient porter par le son de la musique. Originaire de Québec, I.No s’est fait connaître par le public en 2009 en remportant la première place pour le « Global Battle of the bands » au Festival Envol et Macadam et le prix Coup de Coeur du Festival Diapason en 2010. L’album « Haunted Hearts » sortira le 7 février prochain sous la maison de disque Vega Musique. Ils poursuivront la promotion de leur album à Québec le 1er février à la salle de spectacle Le cercle.
Laura Vallée photographe
