Gabriel Nadeau-Dubois lors de son discours, accompagné de Claire Bolduc, Aurélie Lanctôt, Karel Mayrand, Jean-Martin Aussant et Will Prosper.

par Élianne Fournier

C’est mercredi le 15 février 2017 que se tenait la prévente du livre «Ne renonçons à rien» au café du Monument National. Cet essai conclut la tournée «Faut qu’on se parle» amorcée à l’automne dernier. Celle-ci qui avait comme but de rencontrer des gens de partout au Québec afin de savoir ce qu’ils pensaient de la politique, l’environnement, l’éducation, l’économie, la culture, la diversité, etc.

Lors de cette conférence, plusieurs des neuf membres du collectif ont pris la parole, dont Claire Bolduc, Maïtée Labrecque-Saganash,
Véronique Côté et Gabriel Nadeau-Dubois. Après 174 assemblées de cuisine et 10 consultations publiques, les enjeux qui ont suscité le plus d’intérêts sont: l’éducation, le dialogue avec les Premières Nations, le développement économique et la démocratie.
Gabriel Nadeau-Dubois a précisé que le sujet qui a fait parler le plus est l’éducation. Celui-ci affirme que les buts visés dans cette sphère est de «diminuer le nombre d’élèves par classe» et afin d’aider les élèves avec plus de difficultés particulières, augmenter
le nombre de «spécialistes et de professionnels».