par Daphné Beaulieu

La hausse du prix de l’essence est un sujet qui alimente les conversations depuis déjà belle lurette. Bien que l’on soit las d’en entendre parler sans arrêt, cette réalité demeure bien présente. Qu’on le veuille ou non, la fluctuation du prix de l’essence fait maintenant partie des moeurs des Québécois et Québécoises. Impuissants devant ces changements, on attend parfois le jour de la semaine où le prix sera relativement « ‘raisonnable »’ pour aller faire le plein.

Ces jours-ci, avec des prix allant de 1,14 $ à 1,26 $ (!!!) du litre, notre portefeuille se voit considérablement allégé après chaque visite à la station-service. Et le printemps n’est même pas encore arrivé, c’est tout dire. Même s’il nous est parfois possible de bénéficier de périodes de répit et de stabilité, il faut se l’avouer : à long terme, notre précieux carburant continuera dans son ascension vers le sommet (si sommet il y a !). Jusqu’où serons-nous prêts à payer pour pouvoir nous déplacer en automobile?